Un Anonymous risque 16 ans de prison pour avoir dénoncé un viol
Le problème, c’est que les États-Unis ont fait voter une loi en 1986 pour lutter contre la cybercriminalité et cette dernière prévoit de (très) lourdes peines pour les hackers. Deric est évidemment concerné et il risque ainsi de passer les seize prochaines années de sa vie dans une cellule sordide, soit une peine huit fois plus importante que celle des deux violeurs.
Sta zunis toussa.