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La vidéo "Une conversation difficile : Le danger des ondes électromagnétiques" a été retirée de la chaîne suite à la demande d'Annie Lobé qui y figurait.
Lors du salon BioZen, elle étai très heureuse d'expliquer ses hypothèses et conclusions sur le danger que représenteraient les ondes électromagnétiques de notre quotidien (téléphones, linky, ampoules basse consommation etc). Elle était d'accord pour être filmée tant que son visage n'apparaissait pas.
Elle a finalement décidé de condamner notre travail à la poubelle, et pour éviter des ennuis sur notre chaîne, nous l'avons donc retirée.
Je me doute qu'en cherchant bien, vous en trouverez des versions pirates si vraiment ça vous intéresse.
Ce vlog vous explique le pourquoi du comment et j'y recopie mon analyse de la conversation afin que cette partie là au moins reste visible sur notre chaîne.Merci à vous pour votre soutien, pour la défense de notre liberté d'analyser et de débunker ce qui mérite de l'être.
Effet Streizand en marche pour la tronche en biais.
Bah tient mon con.
Copyright Madness
La gloire de mon père. La propriété intellectuelle fait parfois fi de toute morale. Ou plus précisément, certains titulaires de droits. C’est le cas de la maison d’édition Les Éditions de l’Atelier, qui ont poursuivi en justice l’humoriste Kheiron pour plagiat. Kheiron a réalisé le film Nous trois ou rien qui retrace la vie de son père, réfugié politique iranien qui a fui son pays pour venir s’installer en France. Ce film hommage a naturellement été inspiré de la vie de son père et ce projet a vu le jour notamment après la lecture du livre écrit par le père de Kheiron. Certains passages de l’autobiographie ont été adaptés puis mis en scène dans le film. Et c’est précisément pour cette raison que la maison d’édition a attaqué l’humoriste pour contrefaçon. Mais ce n’est pas tout, elle s’en est pris aussi au père lui-même, autrement dit l’auteur du livre ! Kheiron aurait demandé l’autorisation à l’éditeur qui n’aurait jamais répondu. Le plus triste, c’est que la justice a donné raison à l’éditeur qui lui donne le droit de s’accaparer des moments de la vie d’un individu…
Une Polonaise de 52 ans arrêtée pour avoir créé et diffusé cette image.
Diffusons-la en masse.
L'article 196, en Pologne, semble utilisé pour faire taire les critiques envers l'église. La femme risque jusqu'à 2 ans de prison.
Article: https://www.theguardian.com/world/2019/may/06/woman-arrested-poland-posters-virgin-mary-rainbow-halo-plock
C'est pour moi c'est cadeau.
Streisand On
Appel général à un effet Streisand !
Denis Robert le 04/06/2016 :
Bon... J'ai subi une attaque disons violente contre mon ordinateur, adresse mail et cette page Facebook qui a été interrompue quelques heures. L'article dans sa version définitive reste inaccessible. Je viens de faire des requêtes à Facebook. On me reproche des images à contenu pornographique. Je note que ces twittos racistes et attaquant les ennemis de la liberté totale sont les premiers censeurs dès qu'on touche à leur pré carré et à leurs privilèges...
Revoilà un lien vers une ancienne version...
https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache%3AicTEHLFtBuYJ%3Ahttps%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fnotes%2Fdenis-robert%2Fles-golden-corbeaux-de-twitter%2F10153441381155916%2F
Copie de l'article de Denis Robert sur Facebook :
https://ecirtam.net/streisand/denis-robert_les-golden-corbeaux-de-twitter_03-06-2016.pdf
Copie de l'article chez Mediapart
https://blogs.mediapart.fr/eric-ailleurs/blog/050616/denis-robert-demasque-des-financiers-qui-pronent-le-meurtre-et-la-haine-raciale
Copie de l'article sur mon respawn
http://respawn.knah-tsaeb.org/index.php?public&publicget=2016-06-09-19-47-50
Lien d'origine :
https://www.facebook.com/notes/denis-robert/les-golden-corbeaux-de-twitter/10153441381155916/
Premier effet Streisand sur streisand.fr.
Ca fait plaisir.
Bonne initiative.
!!!! Attention !!!! le lien vers les autoblogs n'est pas bon (faute de frappe).
Merde c'est con que personne n'est fait de copie l'article de Matronix sur l'incendie de l'IBCP.
http://autoblog.leslibres.org/autoblogs/wwwmatronixfr_7430cdb1bf729ed3464730ebb2402232dd5b0e28/?Incendie-%C3%A0-l-IBCP-de-Gerland-Lyon
http://jdrien.net/autoblogs/matronix/?20141218_102819_Incendie_a_l_rsquo_IBCP_de_Gerland_Lyon
http://autoblog.tiger-222.fr/autoblogs/wwwmatronixfr_ff591e897c59f5644fc7ca71e6964b6c3346fd62/?Incendie-%C3%A0-l-IBCP-de-Gerland-Lyon
https://chabotsi.fr/uploads/files/Firefox_Screenshot_2015-01-19T16-27-02.239Z.png
http://drive.warriordudimanche.net/index.php?f=54bd3177b6ffb
http://lehollandaisvolant.net/img/Firefox_Screenshot_2015-01-19T16-27-02239Z.png
https://web.archive.org/web/20150119140033/http://sebsauvage.net/streisand.me/matronix/?20141218_102819_Incendie_a_l_rsquo_IBCP_de_Gerland_Lyon
https://web.archive.org/web/20150119140033/http://sebsauvage.net/streisand.me/matronix/?20141218_102819_Incendie_a_l_rsquo_IBCP_de_Gerland_Lyon
http://127.0.0.1:8888/CHK@HOa-pfaqIObbgZbCwHRP6J29Zgnu-WrPUpHSNk53vmM,7uTmJGlZ3~NiEPPeM0l6Tvl1ufPm2CTNSASwwwKiE2I,AAMC--8/index.html
http://www.petitetremalfaisant.eu/braains/index.php?public&publicget=2015-01-19-18-44-51
Qui veut du Flamby ?
Quelqu'un décide de publié un article sur son expérience avec un centre de formation. Malheureusement la formation n'était pas au gout de l'auteur, il rédige donc un article qui explique pourquoi. Sa ne plaît pas au centre de formation qui menace de sortir les avocats.
Du coup afin d'évité que son article soit perdu, en voici une copie.
""En informatique il y a une règle que j’ai toujours entendu c’est « il faut perpétuellement se former ».
Du coup je me suis dit : « Allez ! Je vais faire une formation au CNAM du coin sur le développement de site web (niveau bac, en certificat professionnel) ».
Résultat ? Plus qu’une honte à mon goût !
Déjà sur la page du CNAM Rhône-Alpes sur ma formation, une UE apparaît, mais sans informations (noms, ECTS). Réunion obligatoire où l’on note son nom sur une feuille, si l’on ne se note pas dessus, impossible d’avoir un RDV pour l’inscription. Au menu de cette réunion : présentation du CNAM, tarifs, avertissement sur la non-possibilité de s’inscrire en ligne sans date de retour à la normale.
Y’a pas à dire, ça donne envie…
Une fois tout ceci passé, réunion individuelle avec laquelle j’apprends que si je voulais passer ma certification en un an je devrais payer 1370 euros, si c’était ma boîte environ 6200 euros. Par contre si je suis en recherche d’emploi je ne paie que l’inscription, à savoir 140 €.
Alors pourquoi est-ce que je trouve que c’est une honte ?
1— Cours à distance.
Proposer uniquement des cours à distance, autant sur un cours base de données je veux bien, autant sur le graphisme j’ai plus de mal.
Vous vous imaginez “mailer” votre professeur “je n’arrive pas à faire l’effet de flou sur mon arrondi sur le dessin là, vous voyez le rond, rhooo”
2— Le prix.
Passons sur la différence pour moi impardonnable, entre le prix « entreprise » et « personnel », le prix de la formation à distance HORS région est majoré (compter 20 ; 30 ; 40 € de plus en fonction du temps ECTS).
Soit disant qu’il faut ouvrir des accès sur les centres à distance.
Rahh merde alors, sachez que toute personne qui regardera notre site hors Pays de la Loire, Rhône-Alpes (la région de Davinaz et moi) devra payer… Comment ça, c’est intolérable ? … Vous comprenez il faut ouvrir les accès…
3— Les logiciels.
Pour une des unités d’enseignement j’apprends qu’il faudra utiliser Photoshop et Dreamweaver.
Je demande : « Mais ce n’est pas gratuit, il me semble ? »
Réponse magique : « Mais si. On prend la version d’évaluation. »
Donc pour créer un site il faut absolument des logiciels propriétaires et les installer en version d’essai. Il est vrai que GIMP (pour ne citer que lui) ne doit pas suffire.
4— La plateforme.
J’ai dit que je n’étais pas certain que les cours passeraient sur mon ordinateur et (point fort positif) la personne est allée me chercher leur responsable informatique. Après avoir parlé avec lui j’en ressors que la plateforme utilisée permet de visualiser des diaporamas, des vidéos, du tchat le tout sans plug-in. J’avoue avoir du mal à y croire.
Réponse miracle : “Sinon vous mettez Wine et c’est bon”.
Excusez-moi d’avoir pensé qu’un groupe qui se dit « ouvert à tous sans distinction (d’âge, de diplômes, etc.) » utiliserait des technologies valides pour tout OS.
Conclusion
Je trouve que les formations au CNAM ont une réputation trop élevée par rapport a ce que j’en ai vu.
On gueule sur le fait que les entreprises ne forment pas leurs employés, mais vu la différence de prix (pour cet organisme connu par exemple), je les comprends.
Un prix qui varie en fonction de la zone de connexion, sur internet, je trouve ça inadmissible.
Préférer utiliser des logiciels en version d’évaluation plutôt que d’utiliser du libre (surtout pour l’utilité de la chose), il faudra me donner une vraie raison valide !
Une plateforme magique que même le responsable informatique (donc qui devrait la maintenir) ne peut pas expliquer, avec comme solution de créer une VM ou d’installer Wine, juste risible.
Je réfléchis donc à d’autres solutions, notamment l’achat de certains livres de openclassroom (anciennement site du zéro) car à titre personnel, je ne recommanderai pas le CNAM."
Et hop, un coup de Streisand !
https://twitter.com/Mitsukarenai/status/486541791676858368
http://autoblog.suumitsu.eu/docs/il_giardino.png
######## VERSION TEXTE #############
L’endroit à éviter au Cap-Ferret : Il Giardino
Le Cap-Ferret est peut-être le Paradis, mais force est de constater qu’il y est un lieu, autrefois charmant, qui n’évoque plus guère ni le jardin d’Eden ni celui d’Épicure : le petit restaurant Il Giardino, spécialisé dans les pizza (mais pas que !) comme son nom italianisant le laisse présumer, et où nous avions l’habitude de nous rendre une ou deux fois par an. Cette année, ne dérogeant pas à cette tradition désormais ancrée dans le déroulement de nos vacances, nous y allâmes dîner.
Comme le titre de cet article le laisse présager, nous fûmes déçus. Pour plus de commodités, je vais laisser là le passé simple pour vous narrer cette aventure qui ne manque pas de piquant, mais qui par contre laisse désirer côté apéro et amabilité.
Lorsque nous sommes arrivés, un premier serveur nous a demandé, logiquement, si nous désirions manger en terrasse ou à l’extérieur, et comme il y avait pas mal de vent, nous avons opté pour l’intérieur, et sommes donc allés nous installer à une table. Immédiatement, une harpie en gilet fluo nous saute sur le paletot pour nous houspiller de nous installer sans autorisation (alors que, et d’une, nous en avions une, d’autorisation, et de deux… j’aime pas trop me faire engueuler par les serveurs, en général — par personne, du reste, mais encore moins lorsque je suis le client). Bref, ça ne commence pas très bien, mais le malentendu levé, elle nous file les menus. Et la, première erreur fatale dont découlera tout le reste : elle ne nous demande pas, comme c’est la coutume, si nous désirons un apéritif. Or, un apéritif, nous en désirions un (comme très peu de clients manifestement, mais enfin, c’est bien notre droit tout de même). Arrive une deuxième serveuse, qui prend notre commande, mais ne nous demande toujours pas si nous désirions l’apéritif (logique : sa collègue était supposée l’avoir fait), que nous sommes donc obligés de réclamer (nous y tenions).
Dix minutes passent, et toujours pas l’ombre ni de notre apéritif, ni de notre bouteille de vin d’ailleurs. Alors qu’immédiatement après avoir pris notre commande, la deuxième serveuse aurait dû nous le préparer et nous le servir : le principe de l’apéritif, c’est de permettre d’attendre sagement son plat. Enfin, il me semble. Donc je hèle un troisième serveur (nous reviendrons plus bas à cette question épineuse de l’enchaînement des serveurs) et lui dis (aimablement !) que ça serait bien de nous servir l’apéro, parce que sinon, nos plats vont arriver avant lui. Et bingo, alors que serveur n°3 nous apporte (enfin ! Nous commencions à nous dessécher) nos tant désirés apéritifs (sans cacahuètes. Fut une époque lointaine, dans ce restaurant, on nous donnait des cacahuètes avec l’apéritif. Ailleurs, on nous donne même des vraies tapas pour pas plus cher. Ta Panta Rei), nos plats arrivent avec serveuse n°1. Plats que nous renvoyons parce que zut, du coup nous n’en sommes qu’à l’apéro (par leur faute) et que le pastis accompagne mal l’entrecôte-frites. La serveuse bougonne.
Et ça continue. Alors que nous buvions, arrive la patronne, peu aimable malgré ce qu’elle voudra bien affirmer (à côté, les serveurs du café Marly méritent la palme d’or de la courtoisie), vient nous dire de nous signaler quand nous voudrons nos plats, parce qu’ils viennent déjà de jeter une entrecôte et que si ça doit durer 1/2 heure notre histoire, ça serait bien de le dire. Nous essayons donc de lui expliquer notre souci, et de lui faire remarquer ce qui, pour nous et depuis de nombreuses années, est la source du problème dans nombre de restaurants : que les serveurs n’ont plus de tables attitrées et qu’ils vadrouillent au gré du vent, ce qui fait qu’il n’y a plus aucun ordre et que règne la désorganisation la plus totale. Mais là, elle a une excuse (et là, je vous jure que je n’invente rien) : elle ne peut pas faire bosser ses serveurs plus de 44h et il faut qu’elle leur donne des jours de repos, alors comprenez mes braves gens, ça lui ferait trop de personnel à payer.
Stop ! Quoi ? Elle n’a pas le droit de faire bosser ses employés 24/24 7/7 ? Mais franchement, où va le monde !
Bref. On nous apporte notre vin (froid !) et nos plats, réclamés deux fois. L’entrecôte était nouvelle, ok, ce qui n’était pas le cas des pizza, sèche sur les bords. Bon. Nous prenons, quand même, un dessert (ce que n’ont pas fait les gens de la table d’à côté, partis en jurant qu’ils ne reviendraient pas). Bon, ok, les boules de glace étaient grosses. Mais bon.
Ma maman va payer, et essaie de revenir sur l’incident, et se fait envoyer paître par une patronne toujours aussi mal embouchée et dédaigneuse. Et elle a payé les apéros, source du conflit, alors qu’il est d’usage, dans la restauration, de les offrir aux clients lorsqu’il y a un souci (vu la marge qu’il se font dessus, ils peuvent se le permettre).
Conclusion ? Un restaurant où nous n’irons plus parce que la patronne se prend pour une diva (alors que, sérieusement, elle n’est pas la propriétaire de Chez Hortense, non plus), l’une des serveuses serait bien inspirée de ne jamais bosser à Londres parce qu’elle ne risque pas de pouvoir vivre de ses pourboires, et on se fout du client et le sens du commerce est plus qu’approximatif. Je vous engage à le noter dans votre liste noire si vous passez dans le coin !
(tout ça pour deux apéritifs… à quoi tiennent les guerres)
Il Giardino
71 Bd de la plage
Cap-Ferret